Pour modifier, améliorer la substance d’un objet , il est nécessaire que l’objet dispose d'une place dans la convivialité habituelle,cette amélioration visée oriente le dynamisme de notre propre activité vers un plus dans une procédure contrôlable parfaitement accessible à notre éventail cognitif, notre confiance et notre sens de l’application, par un recyclage des facteur de synergie. Certain objet nous apportent une joie directe ; peintures ou meubles anciens , sculptures, machines diverses. Il est évident que tout ce que nous contemplons naturellement contient une certaine synergie. Cette valeur intégrée est de nature directe et nous ne sommes pas obliger d’aller plus loin. Mais si nous voulons sortir un peu de l’ordinaire et prospecter dans ce qui est lié au testable ce point de vue analytique est une source considérable de réflexion et de possibilité combinatoire sachant que des choses très banales peuvent recevoir un facteur x qui augmente leur degré de synergie .

Pour déclarer la suite je dirai que si vous voyez une assiette pour la ixième fois, quelque part dans votre esprit cela est strictement rasoir, votre mobilité est quelque peu saturée et votre application est morne. La vitalité globale de l’utilisation est à un point très bas ; Il faut donc modifier quelque chose de l’objet, faire que sa matière soit plus douce au touché, que son apparence soit plus rustique, mais bien sur inutile s’engager dans l’exhibition artistique pour la peindre en rouge ou bleu. En bref une gamme d’éléments en réserve dans votre esprit qui sur la base de la conservation de la forme et de l’aspect, percute savamment sur une possibilité expérimentale liée à la comparaison, pour annihiler cette disgrâce. La base de cette action est un véritable défit qui permet de pressentir la vérité . Science fiction , anticipation ,Vous voilà donc engagé dans une méditation avec cette pauvre assiette qui n’a rien demandé sinon un peu d’aventure. La première disposition pour situer le poids de votre implication se fera par la génération un autre objet, au centre de l’assiette. Il s’agit de créer une espèce de petite montagne (une forme de cône) faite de métal et de bois ou autres matières disponibles agençant des relations symétriques, tiges de bois tiges de fer, lamelles, morceaux de bois vers le haut ou le bas. Cet amoncellement doit se faire très sérieusement, dans une attitude pragmatique en évitant toute considération sur l’esthétique de l’assiette ; il pourra être évoqué dans un avenir pas tout proche, ce qui vous permettra d’y voir des aspect qualitatifs qui actuellement sont en dehors de votre appréciation directe . Vous devez arriver à faire un angle de 110° du sommet de l’objet, au bord de l’assiette. Au final vous serez réceptif à votre création qui se synchronise avec votre fondamentalisme interne ; vous pourrez constater que l’assiette fait partie de ce fondamentalisme. Vous enlevez ensuite l’objet de l’assiette et vous le mettez à coté de n’importe quel autre objet. Vous pouvez alors constatez intelligemment que cet objet a des points communs avec l’assiette, un quelque chose dans son apparence qui valide une certaine complicité. Si vous mettez cet objet sous un objet du genre boite, qui le recouvre compl. Avec votre assiduité expérimentale vous pourrez constater que la boite se modifie progressivement sans aucune intervention de votre part bien sûr. Ce genre de manipulation ne se fait qu’une seule fois vous pourrez par la suite produire d’autres objets plus légers qui exprimeront plus simplement votre démarche et libéreront votre inspiration. Vous pourrez voir dans chaque matière des possibilité étonnante.

J'entends bien les prémices de ta théorie, mais le développement m'a complètement perdu.

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« C'est une paralysie du sommeil. Ou bien un orbe. » (vieille sagesse zététique).

Passez simplement à la pratique. Trop de spéculation ne permet aucun développement. Essayez de suivre le fil de votre liberté voyez l'objet dans votre esprit et vous trouverez le chemin le plus court pour la réalisation. ça n'est pas une question de chance; juste le présent pour chaque chose.

Pour suivre je dirai que la théorie est bonne quand elle fait partie des souvenirs et qu'en quelques sorte elle a fondue comme le sucre dans le grand jus de la mémoire. Ainsi la vie est libre et le regard s'accompli dans la curiosité et le respect du quotidien. Peut être verrez vous dans l'objet ou une forme matérielle délaissé un animal endormi.