La fin du monde, de l’être humain qui va disparaître, absorbé par sa technologie, son pouvoir , voulant entraîner tout ce qui bouge, tout ce qu’il est capable de manipuler entre autre les ressources et l’écologie. L’être humain a besoin de vivre , d’exister avec un arrière fond de solutions en mémoire et aussi en quête . C’est là qu’il trouve sa justice et la définit dans sa logique existentialiste ; La fin du monde c’est l’inverse, c’est Zéro solution , Zéro existence, Zéro justice. Je comprend alors mieux la nécessité d’étaler cette description pour quelle puisse entrer dans le coco . Ses référence sont certes liées à une certaine unanimité mais elle ressemble un peu à un véhicule qui se déplace en utilisant seulement sa réserve d’énergie cinétique. Finalement elle s’arrête quand il n’y a plus d’énergie .Mais elle s’arrête plus tôt que prévue parce que les facteur de contrôles ne peuvent faire partie de la valeur objectives, et que la nature de la description empêche de considérer la moindre révolution. Le cinéma nous balance toute sorte de super héros mais finalement avec le temps ils ne sont plus que des insectes dans une collection , sans évolution possible. Les sciences politiques ont peut être vue dans ces productions l’élaboration d’une forme de motivation, mais ça n’est qu’un mouton de plus dans ces zones d’ambiguïté qui font partie de la sincérité individuelle. En bref il nous reste la philosophie le monde des sauvages, le monde animal, le monde des plantes , le monde naturel celui que nous avons dans notre esprit romantique, le monde de l’occulte, le monde de la méditation et du paranormal, le monde qui aborde avec humanité l’interactivité de tout ces mondes non pour définir de nouveaux pouvoir mais pour nourrir l’initiative, le sens du défit avec l’intuition sur les bases de vérité infinitésimale ou non verbale.
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