Citer:
En rencontrant les Pr Lelord, Barthélémy, puis le Dr Milcent, je me suis rendu compte ce que c'était qu'un vrai diagnostic d'autisme et cela ne se pose en 20 secondes ou en relisant la littérature freudienne et doltoïenne qui n'est que de la bouillie pour les chats.
C'est bien ce que je dis, c'est plus neurologique que psy (bien qu'obligatoirement on s'y retrouve à un moment,
je parle de psychiatrie, pas de psychanalyse).
Citer:
Car le drame de l'autisme est là et bien là ! Cette psychiatrisation à outrance qui veut qu'on considère les enfants puis les adultes autistes comme différents, bref "hors monde". Ce qui est totalement faux. Les enfants TED et les adultes sont scolarisables, éducables, intégrables en entreprise à condition que l'on fasse NOUS, des efforts, parce que si l'effort ne doit venir que d'un côté, ce n'est pas possible.
Je n'ais rien contre, ça semble même donner des résultats, ce que je dis depuis le début avec les chiots, dauphins et autres, et que je ne voit pas très bien en quoi ce robot ferait une différence, j'ai même peur que ce soit une voie sans issue.
Citer:
et rejeté l'enfant dit "autiste" (ou sourd, ou trisomique) régresse et devient une véritable zombie, non pas en raison de son affection, mais en raison de l'ostracisme qu’il subit et qui pèse de tout son poids sur sa déficience qu'elle amplifie !!
Je ne pense pas avoir parlé de rejet, voulue ou non, juste que c'est extrêmement difficile, parceque j'ai vécu la souffrance du malade mais aussi celle de sa famille, qui est peut-être un peu trop négligée.
C'est extrèmement dur, pas d'aide pour un sous, je me souviens marie qui n'arrivait pas à payer ne serait-ce que tous les transport médicaux et que nous ses amis avons aider à financer. Montpellier le plus proche, de béziers je te laisse faire le calcul pour deux transports minimum par semaine.
Il y a un abandon c'est clair, c'est pas rentable un autiste à tous les sens du terme.
Reste que la maladie est là, que des gosses ou adultes maintenant sont malades et que c'est dur pour tout le monde.
Il faut briser le tabou, y compris celui de la souffrance de la famille qui n'en peut plus et n'a pas le moindre espoir que ça s'arrange.