Wow. Le gars est un EXCELLENT acteur ! Et les textes sont très bien. Belle trouvaille, Psychopompos !

J'ai un peu de mal à passer outre le peu de ressemblance physique entre cet acteur et feu-Lovecraft, j'avoue...

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Close the world, open the next

Ah, toi aussi ?

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Vous pinaillez, là, les copains !
https://en.wikipedia.org/wiki/H._P._Lovecraft
Je trouve qu'il y a quand même un petit quelque chose, non ? (principalement la raie à la con...!)

Et puis, un peu de licence poétique, que diable !

PS en revanche, Lovecraft était américain, et le gars se la joue very British...! A moins qu'à Providence, RI, on ait eu à l'époque le même accent british qu'à Boston, MA...!

Ben ouais, mais c'est pas en se rasant, en se faisant la raie et en mettant un costume qu'on en est forcément un sosie de Lovecraft, quoi et je sais pas pourquoi, mais ça me bloque.


Ce serait pas trop surprenant, les deux sont en Nouvelle-Angleterre. Et apparemment, Lovecraft tait assez attaché à ses racines sur le vieux continent.

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Franchement, la chirurgie esthétique, c'est motivant pour devenir le sosie de Paul Newman, mais de Lovecraft, bôf.

Tu m'étonnes !
Après, je suis sûr qu'y a des motivés...

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Ungl unl . . . rrlh . . . chchch . . .
[H.P. Lovecraft, The Rats in the Wall, 1923]

Oui. Lovecraft étant extrêmement anglophile, je ne serais pas étonné si il parlait réellement en prenant un accent britannique (d'autant plus qu'il écrivait en anglais britannique).

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"A vaincre sans péril, on s'embête beaucoup moins" Pierre Corneille, Le Cid

I beg to differ...

Ce Lovecraft-là n'a pas un accent anglais à proprement parler. Et surtout pas un accent anglais un peu "posh" de l'époque concernée, à savoir grosso modo les années 20-40.

Du reste, l'accent de Boston, qui diffère certes de celui de Providence (plus proche de celui de NY, en moins caricatural), n'est pas un accent anglais, même au début du XXème s. !

Il force et polit son intonation et efface au maximum ses "r" pour paraître très "Nouvelle-Angleterre", mais réalise de nombreux phonèmes de façon américaine plus ou moins "standard".

Pour une oreille contemporaine, ça sonne très "british", certes (surtout quand on s'inflige la vulgarité du GenAm d'aujourd'hui... ), mais transporté dans le Londres de son époque, il n'aurait pas fait illusion longtemps.


Ceci étant, il est bien plaisant à écouter.



L.



PS : en tant que "ventilateur inconditionnel" du Maître de Providence depuis près de vingt-cinq ans, il me semble me souvenir que les rares témoignages sur sa prononciation font état d'une voix plutôt haut-perchée et d'un accent local relativement peu remarquable. C'est-à-dire que si, à l'écrit, il affectionnait les orthographes et tournures anglaises un peu rétro déjà pour l'époque, il s'exprimait à l'oral sans se faire distinguer, au sein de sa classe sociale.

En tout cas, bien dommage qu'il n'existe aucun enregistrement (connu) de sa voix. On pourrait se faire une idée sur pièce...

Je ne saurais m'aventurer dans les détails, mais j'ai lu et entendu un certain nombre de textes qui se moquaient de l'accent pseudo-quasi-British des Bostoniens.
Oui, c'est là qu'un petit selfie sonore de Monsieur HP nous serait bien utile !