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Avec ton livre tu nous inspires la crainte, avec deux mots qui n'existent pas au dictionnaire : - Fatimiste et Medjugorje.
Et bien, un peu de recherche ne fait jamais de mal car le dictionnaire ne contient pas toutes les vérités...
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C'est généralement l'évêque qui est en charge de ce choix
C'est effectivement comme cela que sont nommés les prêtres exorcistes, en l'occurrence le père Amorth raconte très bien la manière dont il a été nommé et appeler à prendre la suite d'un exorciste apparemment très réputé. Il raconte aussi qu’apparemment très peu de prêtres souhaitent être désignés exorcistes et que nombreux sont ceux qui refusent la charge par, selon lui, « manque de foi ».
Tout ce que j'ai retenu dans un premier temps c'est que ces exorcismes ne correspondent pas à l’image que l’on s’en fait. Le père pratique finalement très peu de grand exorcisme du rituel romain, et se contente dans la grande majorité des cas de prières de délivrance ou de bénédiction. Il avoue lui-même que malgré les nombreux cas qu’il a eu à traité il a du rencontrer en gros dans sa vie une centaine de véritable cas de possessions (sur les 70 000 qu’il dit avoir pratiqué hein).
Donc j’en déduis en fait que le livre est à lire entre les lignes, et que ce que notre bon père nomme « exorcisme » s’apparente plus un petit rendez-vous pour discuter avec la personnes et éventuellement prier avec elle pour qu’elle soit entièrement satisfaite.
Bref une fois de plus l’article du journal ne reprenait que les détails croustillant du bouquin complètement sortis de leur contexte…