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Oui, imaginez ce que vous voulez, mais actuellement, la police criminelle actuelle, ne peut plus travailler sans la science criminelle policière.
Certes, on ne peut pas s'en passer...
Mais en même temps, ce ne sont encore pas des robots qui résolvent les affaires criminelles, même à notre époque.
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Je suis persuadé, que si à l'époque de l'affaire Villemin, nous aurions disposé de notre science policière évoluée au premier ordre, l'affaire aurait été réglée depuis longtemps.
Mais cela n'a pas été le cas... donc, on ne va pas refaire l'histoire.
De plus, comme je le disais, ces traces, surtout l'ADN, sont une aide précieuse et une immense avancée, mais elles ne font pas tout : si on n'a rien pour comparer une belle trace ADN ben on est pas plus avancé...
Dans cette affaire, si l'on arrive à extraire un ADN exploitable, 2 cas de figure se présenteront :
- l'ADN appartient à une personne figurant au dossier, ou dont l'ADN est déjà fiché... parfait. La Justice n'aura plus qu'à tirer les conclusions qui s'imposent... encore que, un ADN est la preuve que son porteur était présent sur la scène de crime, pas forcément qu'il est le coupable. Et même si les 2 se confondent souvent, on a un peu trop facilement tendance à l'oublier...
- l'ADN est inconnu. Dans ce cas-là, je suis curieuse de voir ce que ça va donner... comme dans l'affaire Dickinson, on ratisse large et on prélève l'ADN de tous les habitants du coin ? Et si l'ADN appartient à un mort, par exemple ? Ou si le corbeau et l'assassin sont 2 personnes distinctes ?...
Tout ça pour dire qu'une empreinte ADN lisible permettrait une grande avancée dans l'affaire... mais en aucun cas, elle ne nous servirait l'assassin sur un plateau...