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Comment un chasseur d'aliens de Harvard, accusé de vol, pourrait se retrouver au cœur d’un conflit mondial
Un scientifique de Harvard, chasseur d'Ovni, prétend que les débris de la météorite qui s'est écrasée dans l'océan Pacifique en 2014 pourraient prouver l'existence d'une vie extraterrestre. Il est maintenant accusé de les avoir volés.
Si cela peut avoir des allures de scénario de film de science-fiction, cette histoire est bien vraie. Et elle fait grandement polémique. En janvier 2014, des débris de météorite sont tombés dans les fonds marins de l’océan Pacifique après avoir été projetés d’une boule de feu traversant le ciel au-dessus de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Un astrophysicien et spécialiste de la cosmologie de l'université de Harvard, Avi Loeb, aidé de son équipe de recherche, a enquêté sur cet objet spatial, déterminant notamment sa trajectoire, grâce à des données sismologiques et astronomiques.
À la suite de la découverte de la zone exacte du crash, comme l'explique le Daily Mail, le chasseur d'OVNI et ses collègues ont organisé une expédition afin de récupérer des fragments de cette météorite, baptisée Interstellar Meteor 1 (IM1), à l’aide d’un bateau sur lequel se trouvait un puissant aimant.
Après avoir analysé les débris, Avi Loeb a assuré avoir trouvé des éléments de technologie extraterrestre provenant d’une autre galaxie que celle de notre système solaire. Ils seraient donc, selon lui, la preuve qu’un vaisseau d’origine alien est passé non loin de notre planète. Pour beaucoup d'autres scientifiques, en revanche, une telle affirmation est prématurée.
Avi Loeb accusé de vol ?
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Aux yeux des autorités de Papouasie-Nouvelle-Guinée, l’astrophysicien a tout bonnement volé les morceaux de météorite qui se trouvaient dans l’océan Pacifique, au large de leur pays.
Beaucoup accusent Avi Loeb et son équipe d'avoir contourné les procédures requises pour obtenir une autorisation valide et de s'être donc approprié l'objet étranger sans accord clair. L'Institut national de recherche de Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui coordonne les demandes de recherche des scientifiques étrangers, affirme par exemple que personne ne l'a contacté.
L’État papouan-néo-guinéen serait en colère de ne pas avoir pu profiter des éventuels avantages d’une telle découverte. "Nous avons été trompés", a déclaré George Penua Polon, administrateur adjoint de la province de Manus.
Un haut fonctionnaire du ministère de l'Immigration s'exprimant dans le Sunday Times a également laissé entendre que l'équipe d’Avi Loeb avait potentiellement enfreint la loi en s’emparant de ces "objets rares". "Cela pourrait être illégal", a-t-il déclaré. Les scientifiques pourraient donc être inculpés au pénal.
Source:
https://www.geo.fr/geopolitique/comment-un-chasseur-daliens-de-harvard-accuse-de-vol-pourrait-se-retrouver-au-coeur...Au cœur d'un conflit mondial! C'est la sauce, pour Avi Loeb!
Mais peut-être cherche-t-on à le faire taire?
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Après avoir analysé les débris, Avi Loeb a assuré avoir trouvé des éléments de technologie extraterrestre provenant d’une autre galaxie que celle de notre système solaire.
Parce que le système stellaire le plus proche c'est pas assez loin...
Deux hypothèses me viennent à l'esprit:
- Le pigiste de Geo s'est trompé et aurait donc dû écrire "d'un autre système stellaire".
- Comme Daniel Sheehan, Avi Loeb fait pousser de l'herbe et garde aussi tout pour sa gueule.