Hello guys!

Pour ma part, c'était surtout le Français, et de même pour le Sport.
A little English too.
Je n'ai jamais été un bon élève en Physique ou en Mathématique.

Je suis curieux de savoir pour vous !

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“Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi effrayantes.”

Le français ? Tu es sûr ?...







Pardon, je suis plus là...

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

Oui, même si ça m'arrive de faire quelques fautes.

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“Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi effrayantes.”

Je te chambre gentiment, t'inquiète...



Cela dit, dans le titre, on ne voit que ça... et en plus, apparemment, je ne peux pas taper dans la barre d'édition du titre, donc je ne peux pas éditer...

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

C'est fait, j'ai réussi à Edit.

Tu peux désormais répondre au Topic

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“Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi effrayantes.”

Voilà...

Et bien personnellement, j'ai toujours été plus à l'aise (ou j'ai croisé les meilleurs profs, ça compte aussi... ) dans les matières littéraires donc le Français/les Lettres, l'Histoire (pas trop mon truc la géo par contre), et la Philo en terminal (mon 16 au Bac est peut-être la plus grande gloire de ma scolarité... et c'était pas l'époque où on pouvait avoir 22 sur 20, je précise... ). Les langues aussi, même si j'ai toujours de très loin préféré l'Espagnol à l'Anglais...

Par contre les Maths, ça a toujours été compliqué, même si j'arrivais à avoir souvent des résultats corrects, ou à peu près...
La SVT, j'aurais pu aimé, mais j'ai pas été pistonnée au niveau des profs (sauf en Seconde où il était sympa, mais alors celui de 1ère une calamité, un fou furieux... bref...). En Physique, y'a qu'en Terminal que j'ai aimé parce qu'on a eu un prof super sympa qui était proche de la retraite donc il n'en avait rien à faire du programme, et en plus la matière ne tombait pas au Bac, donc il nous filait les cours en polycopiés histoire de dire, et toute l'année on a fait des trucs sympas comme de la photo, des expériences etc...

(oui si vous n'avez pas compris : j'ai fait un Bac L... )

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

Mes matières préférées sont probablement pas dans les cours que j'ai séché

La physique, j'ai aimé. La programmation j'en ai fait un métier alors oui (ce qui est étrange en soi puisque les math ont toujours été un enfer et en disant enfer, je pèse mes mots).

Les autres matières ont toutes faite partie du lot de mon premier énoncé.

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N'écoutez jamais les gens qui vous disent : « Oubliez-vous ! Aimez les autres. » Ne les écoutez pas. Ils ont tort. La pire des choses est de s'oublier soi-même lorsque l'on va vers les autres pour les aider.

Histoire, SVT, physique-chimie. (j'ai fait L)

Je n'appréciais pas du tout les maths, la musique et le sport.

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"A vaincre sans péril, on s'embête beaucoup moins" Pierre Corneille, Le Cid

Ah le sport c'est clair... c'était horrible.
J'ai jamais été une grande sportive, mais je crois que l'enseignement du sport au collège/lycée m'a dégoûtée du sport tout court en fait. (et encore, en 1ere et Terminale, je me rappelle que c'était gérable parce que la prof était sympa et plutôt bienveillante vis à vis de ceux/celles qui galèrent en EPS, ce qui mérite d'être souligné... )

Au demeurant, je ne pas comment ça se passe maintenant, mais quand on voit les nouvelles études sur l'augmentation du nombre d'ados en surpoids, il me semble qu'il faudrait voir s'il n'y a pas aussi du côté de l'enseignement de l'EPS un piste à creuser pour être plus inclusive, et ne pas amener au contraire à l'exclusion de ceux qui ont déjà du mal, voir conduire à des formes de harcèlements scolaires. Surtout dans les sports d'équipe (je crois que j'ai jamais pu blairer les sports d'équipe justement à cause de l'EPS).
Après tout, on fait du sport pour s'amuser et être en bonne santé, par pour battre des records...
Bref, c'est un truc que j'ai jamais compris...
(y'a pas de prof d'EPS dans la salle pour m'expliquer ?... )

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Même si on ne nous laisse qu'une ruelle exiguë à arpenter, au-dessus d'elle il y aura toujours le ciel tout entier.
Etty Hillesum, Une vie bouleversée

Je dirai en premier, l'histoire, j'ai toujours adoré l'histoire et je n'ai jamais compris ceux qui disaient que cette matière servait à rien. Le français, car même si l'orthographe était un gros problème et que les dictées étaient mon cauchemar, j'aimais bien lire et étais bon dans la compréhension de textes et dissertations, et paradoxalement j'avais de bonnes notes en grammaire (je connaissais les règles, c'est leurs applications qui posaient problèmes).
La chimie, jusqu'à que cela "devienne" de la physique, les math jusqu’à la trigonométrie où là je dois avouer n'y avoir rien compris.
La gym ne m'a jamais déplu, car même si j'ai toujours été en surpoids et donc pas très sportif (et n'aimant pas le foot de surcroit) j'avais compris qu'il suffisait de montrer que l'on faisait de son mieux pour avoir une note au dessus de la moyenne.

La branche que j'aimais le moins (et qui m'a empêché de faire des études secondaires), c'est l'allemand, d'une part je ne suis pas doué pour les langues et surtout je ne voyais (et ne vois toujours) pas l'intérêt de l'avoir (et à l'époque la seule si on ne faisait pas d'études secondaires) en première langue à apprendre. Alors, on va me dire, mais en Suisse, les deux tiers de la population parle allemand, alors oui, mais surtout un gros non, ils parlent le suisse-allemand, et je devrais plutôt dire les suisse-allemands (ce qui veut dire que deux Suisse-Allemands qui viendraient de deux cantons éloignés (voir juste de deux versant différents d'une même vallée en exagérant à peine, peuvent ne pas se comprendre).
Ce qui fait que, en grossissant le trait, que l'on communique en anglais et que la cohésion nationale ne passe pas/plus par l'apprentissage de la langue de l'autre. Et je suis aussi à peu près sûr que les Suisse-Allemand préféreraient apprendre l'anglais plutôt que le français…
Je n'aimais pas trop non plus le dessin technique, les heures passées sur un tabouret de dessinateur à essayer de faire des beaux dessins géométriques sans que les lignes ne dépassent ne sont pas un très bon souvenir non plus. (Et en plus avec l'informatique, je pense que ce genre de matière ne dois plus exister de nos jours.)

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Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn
Cthulhu fhtagn

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